A-D

Claudel, Philippe
Le Livre de Poche
g
Cocteau, Jean
Le livre de poche
g
Coelho, Paulo
LGF, Le livre de Poche. 11x18 cm. 189 pgs.
g
Coelho, Paulo
LGF, Le livre de Poche. 11x18 cm. 315 pgs.
g
Coelho, Paulo
J'ai lu
g
Coelho, Paulo
J'ai lu
g
Cohen, Albert
Folio
g
Collectif
Folio, 136 pgs
.
g

Collectif
Agone, 269 pgs.

« Quand le général Lévy sonne l’alarme, les petits soldats du journalisme sont au garde à vous. Carl Meeus laisse même entendre, non sans fierté, qu’il faisait partie du plan de communication du philosophe : “[Bernard-Henri Lévy] mobilise ses réseaux intellectuels en France et voit Daniel Cohn-Bendit au Flore pour qu’il fasse de même avec ses amis allemands. […] Depuis l’Hôtel Raphaël où il loge, BHL organise une rencontre entre des représentants du CNT, Ali Zeidan et Mansour Saif al-Nasr, et des leaders d’opinion français parmi lesquels André Glucksmann, Harlem Désir, Bernard Kouchner, Pierre Bergé et Laurent Joffrin.” » Dans Le Point, BHL est présenté comme « l’autre ministre des Affaires étrangères », où le chroniqueur maison voit son arrivée en Libye décrite avec un comique peut-être involontaire : « Il marche en équilibre sur des gravats, console une femme éplorée, interpelle des jeunes garçons… » Dans Le Figaro Magazine, les échanges profonds entre le président et l'envoyé de la République furent retranscrits à la lettre : « BHL réussit enfin à joindre Sarkozy. Il lui raconte la Libye, le chaos, mais aussi l’espoir et la réunion du CNT. “Ce sont les Massoud libyens, crois-moi. Si tu les reçois, c’est un acte politique majeur », s’enflamme le philosophe – qui ne fut pas le seul à s’enflammer… » « On a tiré toutes les ­leçons de nos erreurs passées » et « traitement exemplaire » constituent les ­formules sous lesquelles les médias travestissent leur travail en temps de guerre. Pourtant, d’un conflit à l’autre, dans une ambiance rédactionnelle où dominent les va-t-en-guerre et le simplisme des analyses binaires, le parallélisme des expressions laisse ­songeur. Des raisons humanitaires accompagnent toutes les politiques d’intervention, missile au poing. Et l’absence d’informations fiables n’empêche pas la machine médiatique de tourner à plein régime. Exemples à l’appui, du Kosovo à la Libye, ce livre rappelle comment les médias ont broyé l’information du public tout au long des vingt-cinq dernières années – et continuent de le faire. Ce qu’il décrit, loin de constituer une ­collection d’exceptions, est devenu la règle ; pas un dérapage, la norme.


g
Collectif
Folio, 128 pgs.
g
Colette
Le livre de poche, 189 pgs.
g
Colette Ldp, 217 pgs.
g

Colette
250 pgs, Livre de Poche

En trente-cinq chapitres, chacun constituant une nouvelle, Colette fait revivre avec un rare bonheur dans ce livre de souvenirs son enfance heureuse, sa famille et surtout sa mère, la merveilleuse Sido tant aimée.
g

Colette
184 pgs, Livre de Poche

Un mois de mai de la guerre. Mitsou, petite danseuse de l'Empyrée-Montmartre, s'apprête à entrer en scène quand surgit dans sa loge son amie Petite-Chose, accompagnée de deux jeunes sous-lieutenants, un kaki et un bleu horizon.
g

Colette
126 pgs, Livre de Poche Biblio

Par la grâce de l'écrivain, les chiens et les chats qui vivent dans ces pages sont merveilleusement eux-mêmes, saisis avec un extraordinaire bonheur d'expression, en même temps qu'ils apparaissent comme des êtres doués de raison et de parole.
g

Collectif
Folio, 107 pgs.

Résumé de l'éditeur

Rousseau fouillant dans la bibliothèque de sa mère, Emma Bovary soupirant à la lecture de Paul et Virginie, la Petite Tailleuse chinoise et ses compagnons sauvés de l'enfer par Balzac, Nathalie Sarraute dévorant Rocambole, Montag, le pompier prêt à tout pour sauver les livres... Que de héros dont la vie a été bouleversée par la lecture de quelques pages !

Écrivains ou héros de romans, tous peuvent témoigner de ces moments de bonheur où plus rien n'existe, hormis les histoires enfouies entre les pages d'un livre.

g
Collectif
Gallimard, Folio. 11x18 cm. 134 pgs.
g
Collectif
Librio
g
Collectif
Folio
g
Colombani, Laetitia
Ldp, 237pgs.

Inde. Smita est une Intouchable. Elle rêve de voir sa fille échapper à sa condition misérable et entrer à l’école.
Sicile. Giulia travaille dans l’atelier de son père. Lorsqu’il est victime d’un accident, elle découvre que l’entreprise familiale est ruinée.
Canada. Sarah, avocate réputée, va être promue à la tête de son cabinet quand elle apprend qu’elle est gravement malade.
Liées sans le savoir par ce qu’elles ont de plus intime et de plus singulier, Smita, Giulia et Sarah refusent le sort qui leur est réservé et décident de se battre. Vibrantes d’humanité, leurs histoires tissent une tresse d’espoir et de solidarité.
Trois femmes, trois vies, trois continents. Une même soif de liberté.

g

Colombani, Laetitia
Le Livre de Poche, 235 pgs.

Brillante avocate, Solène tente de se reconstruire après un burn-out. Acceptant une mission bénévole d'écrivain public, elle est envoyée au Palais de la Femme, un foyer au coeur de Paris. Les résidentes s'appellent Binta, Sumeya, Cvetana, Salma ou la Renée et viennent du monde entier. Lorsqu'elles voient arriver Solène, elles se montrent méfiantes. Mais Solène est bien décidée à trouver sa place auprès de ces femmes aux destins tourmentés...

g
Comte- Sponville, André Le livre de poche, 497 pgs. Mieux vaut enseigner les vertus, disait Spinoza, que condamner les vices. Il ne s'agit pas de donner des leçons de morale, mais d'aider chacun à devenir son propre maître, comme il convient, et son unique juge. Dans quel but ? Pour être plus humain, plus fort, plus doux, plus libre. Les vertus sont nos valeurs morales, mais incarnées : toujours singulières, comme chacun d'entre nous, toujours plurielles, comme les faiblesses qu'elles combattent ou redressent. Il n'y a pas de Bien en soi. Le bien n'existe pas ; il est à faire, et c'est ce qu'on appelle les vertus. Ce sont elles que je me suis données ici pour objet : de la politesse à l'amour, dix-huit chapitres sur ces vertus qui nous manquent (mais point totalement : comment pourrions-nous autrement les penser ?), et qui nous éclairent. A. C.-S. Un beau livre d’éthique pour notre temps. Jean Blain, L’Express.
g
Condé, Maryse
Folio, 306 pgs.

Lorsque Dieudonné, jardinier de son état, sort de prison après avoir été acquitté pour le meurtre de Loraine, sa riche maîtresse békée croqueuse de jeunes hommes, il se retrouve dans une ville au bord de l'insurrection. Economie sinistrée, conflits sociaux, affrontements syndicaux et politiques, haines raciales : en 1999, Port-Mahault vit des heures difficiles. Dans cette ambiance délétère, Dieudonné, renié par sa famille et par bon nombre de ses amis, retrouve tout naturellement le chemin de sa Belle Créole, le bateau qui lui sert de refuge et de repère, vestige heureux d'un passé révolu.
Dans une langue fleurie et baroque, Maryse Condé livre peu à peu les clés de ce mystérieux personnage frappé du sceau du malheur, figure tragique d'une histoire d'amour passionnelle. Dans une nature luxuriante, elle met en scène des personnages au grand coeur et aux nobles idéaux. Loin de tout cliché exotique, La Belle Créole peint dans une tonalité sombre le destin d'un grand héros romantique.

g

Compagnon, Antoine
Èquateurs paralléles, 232pgs.

Après Montaigne, Antoine Compagnon nous invite à passer un été avec Pascal. Un siècle de différence entre les deux hommes qui sont tous les deux fondateurs de notre modernité, c’est-à-dire de la liberté d’esprit. Pascal (XVIIe siècle) comme Montaigne (XVIe siècle) traite de l’homme, de la société, de l’univers, du pouvoir, de la foi, de l’angoisse, de la mort, du jeu : le tout et le rien. Nous connaissons tous les sentences célèbres de Pascal : « Le silence éternel de ces espaces infinis m’effraie. », « Qui veut faire l’ange fait la bête », « Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point. ».

Antoine Compagnon évoque à la fois la vie du génie Pascal (auteur du traité des Coniques), tout en allant chercher la signification de ses pensées elliptiques. Avec cette tournure d’esprit combinatoire, Pascal explore tous les possibles de la réflexion. En quarante et un chapitres (dont six inédits) il s’intéresse aussi bien à la question de la violence et de la vérité, de la tyrannie, à l’esprit de finesse, au divertissement et au juste milieu. Antoine Compagnon nous fait découvrir l’écrivain du miracle et de la grâce dont la pensée permet de mieux nous connaitre.

g
Condé, Maryse
Folio, 318 pgs.

"Le docteur Ramzi An-Nawawî n'était pas un docteur comme les autres, un vulgaire guérisseur de maladies humaines. Vêtu d'une gandoura sombre comme sa peau. Son visage saisissait. Sous la calotte noire des cheveux, un front ample trahissait des dons intellectuels, tandis que la bouche ourlée débordait de sensualité et que le menton creusé d'une fossette suggérait la tendresse. Kassem n'avait jamais contemplé un être aussi attirant." De père guadeloupéen et de mère roumaine, Kassem se voit forcé d'endosser des identités qu'il n'a pas choisies. Il rencontre le Dr Ramzi dont il devient le protégé. Le médecin a une réputation sulfureuse. Kassem soupçonne des pratiques douteuses. Mais Ramzi exerce sur lui une fascination dont il ne peut se défendre... Sur un rythme haletant, Maryse Condé nous conduit d'énigme en rebondissement sur les pas d'un héros au destin à la fois burlesque et pathétique.

g