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Pancol, Katherine
Albin Michel, 855 pgs

"Trois baisers, trois baisers et l homme caracole, libre, flamboyant, crachant du feu et des étoiles. Ses sens s affolent, il voit mille lucioles, des pains d épices, des incendies... Ils sont de retour, tous les personnages chers à Katherine Pancol et à ses lecteurs. Et ça crépite ! Les histoires se nouent, s'emmêlent, se tendent, éclatent, repartent. On craint le pire, on espère, on respire, on retient son souffle jusqu'à la dernière ligne. Des rencontres, des espoirs, des trahisons, des soupçons, des idylles qui surgissent sans prévenir. Et des baisers qui vont se poser là où on ne les attendait pas. Les vies sont chamboulées. Il faut tout recommencer. Ou tout remettre d'aplomb. On ne sait plus très bien. On n'est plus sur de rien. Chacun s'embarque dans de nouvelles aventures. Certains révèleront leur côté obscur, d'autres verront leur destin scellé, tous auront le coeur battant. « Partons dans un baiser pour un monde inconnu. » disait Alfred de Musset. Ce livre est un voyage."

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Pancol, Katherine
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Pancol, Katherine
Albin Michel, 422 pgs.
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Pascal, Camille Plon, 642 pgs Grand Prix du roman de l'Académie Française 2018 Ainsi commence L'Été des quatre rois. Juillet-août 1830, la France a connu deux mois uniques dans son histoire avec la succession sur le trône de Charles X, Louis XIX, Henri V et Louis-Philippe. Dans cette fresque foisonnante, à l'écriture ciselée, tandis que le peuple de Paris s'enflamme, Hugo, Stendhal, Dumas, Lafayette, Thiers, Chateaubriand, la duchesse de Berry, Madame Royale assistent à l'effondrement d'un monde. Des "Trois Glorieuses" à l'avènement de la monarchie de Juillet, Camille Pascal nous plonge dans le roman vrai de la révolution de 1830. L'Été des quatre rois a reçu le grand prix du roman de l'Académie française en octobre 2018.
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Pelletier, Marse
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Pennac, Daniel
Gallimard
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Perrin, Valérie
578 pgs, Albin Michel

Violette Toussaint est garde-cimetière dans une petite ville de Bourgogne. Les gens de passage et les habitués viennent se réchauffer dans sa loge où rires et larmes se mélangent au café qu'elle leur offre. Son quotidien est rythmé par leurs confidences. Un jour, parce qu'un homme et une femme ont décidé de reposer ensemble dans son carré de terre, tout bascule. Des liens qui unissent vivants et morts sont exhumés, et certaines âmes que l'on croyait noires, se révèlent lumineuses.
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Pireyre, Emmanuelle
Ed. de l'Olivier, 248 pgs.

Prix Médicis 2013
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Pivot, Bernard
de l'académie Goncourt
Nil, 269 pgs.
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Pourchet, Maria
Ed. Toucan, 360 pgs.
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Poussin, Alexandre et Sonia
Robert Laffont, 477 pgs.

Après Africa Trek, voilà les Poussin repartis dans un voyage au long cours, pour faire, cette fois avec leurs enfants, le tour de Madagascar à pied.


Vous vous souvenez de Sonia et Alexandre et de leur longue marche en Afrique ? Ils récidivent avec leurs deux enfants, Philaé et Ulysse, âgés de 9 et 6 ans, toujours à pied, mais avec une charrette à zébus et deux équipiers malgaches. Ce premier tome couvre les mille premiers kilomètres sur près de cinq mille kilomètres parcourus en quatre ans à travers un pays grandiose qui, malgré ses nombreuses richesses, est l'un des plus pauvres au monde. La courageuse famille part à l'assaut de pistes vertigineuses, traverse des zones infestées de bandits, franchit des fleuves immenses en faisant flotter sa charrette et nager ses zébus au milieu des crocodiles, pousse sa roulotte dans les marécages de la côte ouest, parmi les moustiques et les baobabs géants, avant de gagner des plages immaculées... Au-delà de ces péripéties, les Poussin découvrent un pays profondément enclavé et des populations résilientes, luttant pour leur survie alimentaire. Leur périple est semé d'embûches mais il est aussi un bel hymne à la sobriété heureuse, à l'aventure en famille et à la nécessaire solidarité.




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Proust, Marcel
2400 pgs, Gallimard Quarto

Intégral. En un seul volume.

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Philipponnat, Olivier & Lienhardt, Patrick
Grasset & Denoël
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puerfaki70
Puértolas, Romain
Le Dilettante, 252 pgs. 
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Puértolas, Romain
Le Dilettante, 252 pgs.
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Rahimi, Atiq
Prix Goncourt 2008
P.O.L
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Quiriny, Bernard
218 pgs, Flammarion


Un beau matin de septembre, les habitants de Châtillon-en-Bierre se retrouvent confrontés à un curieux phénomène : il leur devient soudain impossible de quitter leur village. Les routes n'aboutissent plus nulle part, tout comme les coups de téléphone et les e-mails. Après la sidération du début, il faut très vite affronter des questions pratiques (comment manger, se soigner, etc), puis des questions métaphysiques.

Les Châtillonnais sont-ils désormais seuls dans l'univers ? Est-ce un signe de Dieu ? Jouant de situations tantôt cocasses, tantôt tragiques, Bernard Quiriny signe une savoureuse fable sur la démondialisation doublée d'une interrogation sur le sens de l'existence.



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Quignard, Pascal
Grasset, 268 pgs

"Qu’est-ce que je cherche, tome après tome, dans Dernier Royaume ? Une autre façon de penser à la limite du rêve. Une façon de s’attacher au plus près de la lettre, à la fragmentation de la langue écrite, et d’avancer en décomposant les images des rêves, en désordonnant les formes verbales, en exhumant les textes sources. Quelle étrange falsification a lieu dans le rêve ? Dans le dessin qui naît sous les doigts ? Dans le langage qui gémit ? Dans la pensée qui hallucine ? Dans la musique même ? Quel est ce mystérieux fantôme ou appelant ?
Ce dixième tome de Dernier royaume n’a qu’un sujet : le faux qui fait le fond de l’âme. Le fond de l'âme hallucine. Le langage dédouble ses fantômes. Tous les arts élèvent des mondes faux. Même la dépression est un rêve.
L’art dès son origine témoigne activement d’un passé présent : d’un rêve actif qui passe les générations et remanie ce qu'il fait revenir. L’art de la préhistoire est une référence fondamentale pour toutes les populations humaines actuelles. C’est le véritable patrimoine. Ce sont peut-être même les seules traces d’un fond universel qui s’est dispersé avec la curiosité territoriale propre à l’espèce et l'éparpillement des langues qui sont impuissantes à offrir d'aussi saisissantes archives originaires au fond des mots dont elles usent."

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Razimbaud, Aurelie
 Albin Michel, 236 pgs.

« La guerre, non, la guerre n'a rien d'essentiel ; les choses essentielles sont le vent, le goût des pierres chaudes, le soleil, les ailes des oiseaux, les cris des enfants sur la plage. »

Qu'est-ce qui brille à la même hauteur que le soleil ? L'amour ou la mort ?

Dans ce récit enfiévré, qui raconte l'Algérie avant, pendant et après l'indépendance, Aurélie Razimbaud tisse les liens subtils et poignants entre l'amour et l'abandon. Qu'il s'agisse des pays ou des êtres, comment aller dans le sens d'une réconciliation, comment panser les plaies, comment éviter qu'elles ne s'ouvrent ?

L'indépendance d'un pays, les liens d'un homme, des histoires qui se croisent : un premier roman porté par le souffle tiède de la Méditerranée, une mer-maîtresse en coups de théâtre.


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Rambach, Anne
Albin Michel
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Reza, Yasmina
Flammarion, 234  pgs.

« Chez ma mère, sur sa table de chevet, il y avait une photo de nous trois rigolant enchevêtrés l’un sur l’autre dans une brouette. C’est comme si on nous avait poussés dedans à une vitesse vertigineuse et qu’on nous avait versés dans le temps. »

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Reza, Yasmine
Flammarion
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Rico, Lucie
272 pgs, P.O.L.

Quand on aime les poulets, on aime tout d'eux. La gentillesse qu'on leur donne, ils nous la rendent en sortant du four.
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Rico, Lucie
216 pgs, P. O. L.

Sandrine souhaite partager sa localisation avec vous.
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Robbe-Grillet, Alain
Les Éditions de Minuit, 140 pgs.
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